Ces troubles sont rencontrés dans les formes sévères et témoignent le plus souvent d’une exposition à d’importantes quantités de toxines. Leur survenue nécessite en général une hospitalisation d’urgence .
La bradycardie et l’hypotension seront traitées par atropine administrée en intraveineuse ou intramusculaire (0.5 à 1mg, toutes les 5 minutes si nécessaire) jusqu’au maintien d’une fréquence cardiaque stable supérieure à 60 bpm.
On peut également l’associer a des analeptiques cardiaques (isoprénaline,…) dans le cas de bradycardie rebelle et à la pralidoxime (Contrathion®,… ; 200 à 1000 mg en perfusion lente) pour son pouvoir régénérateur de cholinestérases.
Enfin, une réhydratation s'impose en cas d'hypotension sévère. |